Une étape de 70 km nous conduit à Lopburi où nous poursuivons les visites des anciennes villes du Siam, ancienne appellation de la Thaïlande.
A la sortie d'Ayutthaya, l'armée du roi Ramathibodi nous a interceptés. Il a fallu que Josée intervienne pour stopper la charge d'un éléphant de combat. |
Lopburi fut une ville importante du royaume d'Ayutthaya. |
Les ruines datent du Xè au XVIIè siècle. |
A l'occasion du nouvel an chinois, l'entrée des sites archéologiques est gratuite. Les photos peuvent paraître un peu rouges car nous faisons la visite en fin d'après-midi. |
Détail des sculptures. |
C'est la fête à Lopburi, les habits traditionnels sont de rigueur. |
Cherchez l’intrus. |
Dans les jardins du palais du roi Naira. |
Vêtements traditionnels ... mais le smartphone à la main. |
Sourire et souplesse des mains. |
Pas moyen de lui arracher un sourire à celui-là. |
Au coucher du soleil nous sommes au Phra Kan Shrine. |
Ce temple est envahi de singes. |
Comme ce temple est au milieu d'un rond-point, les singes vivent au contact des automobilistes. |
Les singes sont très nombreux ici car les touristes les nourrissent. |
Les singes ont tout les droits. |
La fête attire de nombreux touristes et on peut se restaurer dans la rue. Que propose ce stand ? |
... du sauté de sauterelles, ... |
... et de belles larves bien grasses. |
Débauche de guirlandes lumineuses. |
Bonne année chinoise à vous tous. ปีแห่งความสุขของจีนกับทุกคน |
Une ambassade du roi Louis XIV (celui de Versailles) était venue au Siam. Un rappel historique de l’événement fait partie de la fête de ce soir. |
Même Pépette a son accoutrement d'époque ! |
Le Ban Chao Wichayen avait était construit pour l'Ambassade de France de Louis XIV. Constantin Phaulkon en fit sa demeure. Cliquez pour en savoir plus sur Constantin Phaulkon. |
Avez-vous goûté aux larves bien grasses ? Moi oui ! C'est space... Bises
RépondreSupprimerLes larves sont des bébés insectes qui ressemblent trop à des nourrissons emmaillotés. Nous aimons bien les bébés mais au point de les manger !
SupprimerQuant aux sauterelles, leur regard fixe nous a ôté la moindre envie de les croquer.